Planimetria della Chiesa

            Le Chiesa de Santa Maria a Piazza, bien que retenue le plus antique de la ville, paraît dans les documentes occiciel seul dans la demie du XII siècle. Celle-ci (dans la parution réelle, dépuis qu'elle fut élevée à paroisse) présente l'installation planimétrique semblable à San Nicola, San Giovanni Evangelista et Sant'Andrea, c'est-à-dire avec trois nefs (dans la ville les paroisses seul avaient le privilège des trois nefs).
            La restauration, commencée dans les années Cinquante, ne fut jamais complétée: la crypte ne pas reconstruite, le plancher ne pas construit au niveau original, et des fresques ne pas apportées plus dans le site.
            L'église probablement surgit dans le XI siècle, au croisement de antiques rues publiques, comme une chapelle du bourgh homonyme ou d'Orlachia, dehors les murs urbains, parmi les églises de San Giovanni Evangelista et San Paolo, avec un diagramme simple: une petite nef avec une abside semicirculaire. Aussi la cloche, qui ne fut jamais ultimée, est de la même periode; encore est de cette période quelques traces de la chaire in cornu epistolae et l'ancienne Sacrestia avec les emblèmes barbares.
            Après les feux de 1135, qui endommagerent beaucoup de monuments d'Aversa, il fut nécessaire reconstruire et élargire la petite église; deux nefs latérales et les durées en face celle centralefurent ajoutées. Le presbytère, tout en élargissant, conservera extérieurement un passage étroit delimité par la tour oueste du nouveau château.
            Le dôme, avec la tour-lanterne octagonale, qui cache des cellules à l'intérieur, et les deux semicalottes, furent construites dans le XIV-XV siècles. L'apparence intéressante architecturale, né du joint des volumes, égalera celui de la cathédrale, une fois elle-meme avec trois dômes.
            Dans les lunettes extrêmes de la façade il y a deux fresques passées qui représentent, à droite,
Santa Caterina Vergine et Martire, et, à gauche, le Madonna con il Bambino.
            Dans la nef centrale coïncide un portail à le sommet duquel est inséré un
Agnus Dei en marbre. A l'intérieur sur le mur droit il y a une fresque de l'école de Giotto, la Crocifissione di Gesù con la Madonna, San Giovanni Battista, San Nicola di Bari, San Giovanni Evangelista, Anges endoloris et unedonneuse (deuxième demie XIV siècle).


Particolare della Dormitio Virginis (II° metà XIV sec.) del Maetro di G. di Barrile

Adoration of the Magi (XV-XVI cen.) after Pinturicchio school

           Sur le pilier du bénitier, suit un buste de San Benedetto, de l'école cavalliniénne; sur le deuxième pilier nous trouvons une fresque, la Madonna sul trono con il Bambino (conversation sacrée), par Francesco Cicino da Caiazzo (fin XV siècle).
           Sur la nef droite il y a une belle fresque de l'
Adorazione dei Magi (XV-XVI siècle), de l'école de Pinturicchio. Dans le transept il y avait la fresque de la Dormizione della Vergine, attribuée au Maestro de Giovanni Barrile (II demie XIV siècle), au dessous de celui-ci apparuit récemment une Crocifissione avec la Madonna et San Giovanni Battista. Dans la 'scarsella' de la sacristie on trouveles bustes des douze Apostoli, d'un inconnu peintre d'école cavalliniénne, une Annunciazione, du Maestro des Storie della Vergine (demie XV siècle), San Michele Arcangelo et une intéressante Madonna sur le trône, de période de la Renaissance.

            Dans l'actuelle sacristie avec les traces de fresques médiévales il y a une précieuse icône d'origin byzantine avec la Madonna e il Bambino (siècle XIII?), une Natività della Vergine du groupe de Giovanni De Mio et une Madonna delle Grazie avec les Santi Francesco di Paola et Antonio da Padova par Decio Tramontano; sur la voûte du placard contigu paraissent des anciens emblèmes barbares.
            Dans le presbytère dans les restaurations des années '50-'60, des fresques vinrent à la lumière parmi lesquels une Santa Lucia, par un tel Cardillo d'Aversa, un Sant'Antonio, San Leonardo et San Francesco (?) tous de culture provinciale; est du même groupe sont les autres fresques de la Cona Vecchia, San Giovanni Evangelista et San Gregorio IX (?). Proche de la sortie du nord, dans un kiosque du journal, nous pouvons admirer une image de la Madonna col Bambino d'e culture siennoise (deuxième demie XIV siècle).



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Patrimoine artistique-monumental