Permis (de conduire) et Livret (de circulation)

Je n'ai pas téléphoné à Grâce, je n'ai pas révoqué notre rendez-vous clandestin, je suis un crocodile pleurnicheur, et bien plus, personne m'a prêté une voiture et alors j'ai fait donner une énergique nettoyage à la fourgonnette et voilá!

Nous allons à voir et écouter "le pianiste", une parfaite copie de Antonello Venditti.

Je ne m'ennuie pas parce que, malgré je deteste écouter plus de un paire de chansons du même chanteur-compositeur, exactement le délaissement d'elle, ravie par la musique et par la voix, de concert à la position de la chaise et du petite table, me permettent d'explorer en paix sa peau, presque albine, parfaite sous un petite casque de cheveux couleur or pâle.

Je suis décidé a écrire une histoire, je ne sais pas encore quelle, mais je sais qui m'est essentiel cette blondinette androgyne qui j'appellerai "La Blondrynette"; Blondrynette!: il me vient à rire. Elle s'aperçoit de ma allégresse et en profite pour me serrer le poignet.

Ce n'est pas comment je pensais, elle à un garçon qu'on fait cinquante kilomètres pour venir à trouver sa belle; elle m'à révélé ça à peine avant d'entrer.

Ça me rasséréne: il sera une agréable aventure de seulement une soirée tout compris qui ravivera un tranquille et heureux mariage (le mien).

Il vient la trouver le jeudi et le samedi, ainsi à elle restent quatre soirées pour rester en famille et une, le mardi, pour sortir avec moi.

Dans ce boîte de nuit, je ne bois pas au-delà d'un paire de bières petite petite, il y a de prix de vertige et je sais qu'elle veut toujours offrir.

Quand nous en sortons je suis parfaitement lucide et peu distant de sa maison, je début à lui déboutonner sa chemisette.

Initialement elle me laisse faire, elle reste immobile et me regarde amusée.

Elle paraît comment satisfaite de me décerner un prix pour le choses jolies qui je le dit en accompagnant l'action; je continue a trafiquer avec sa chemisette en esperant qui avant du dernier bouton il succède quelque chose.

Et voici qu'elle, toujours silencieuse, me indique le poitrine, en accompagnant le geste avec tous les deux index avec sa irrésistible mimique; et deja comment peut elle faire à rendre mes attentions si ma chemise est cachée dessous au chandail?

Mes six pieds de haut me forcent à sortir de la très incommode trappe de tôle et plastique pour me désenfiler le chandail; j'en profite pour ouvrir la fermeture éclair des pantalons; dehors il y a un froid terrible.

Quand je rentre elle s'est deja liberée de la chemisette et de la lingerie dessous. Deux petites seins orienté vers le haut sortent à travers de l'aperture de la jaquette de fausse fourrure que maintenant elle porte renversée, avec le poil à l'interieur que la caresse: un anticipation des frissons que je imagine elle attende le donne cette inhabituelle alcôve.

Enlever ma chemise est compliqué par le guidon, nous devons nous changer de place et ça est compliqué par le levier du changement de vitesse.

Nous nous réussissons bien ou mal, avec le tricot résolument mal car il se déchire complètement, nous l'utiliserons comme comme chiffon à poussière.

Maintenant je doit désenfiler les jeans et elle écrase le dos le plus possible contre sa côté et je début a tirer jusqu'à mes bras arrivent à contact de ma portière; et-il manque encore demi mètre!

Je cherche de empoigner le tissu à l'haut des genoux mais les mains trop froides ne réussissent pas dans la prise.

Le cristal reflechit et amplifie la situation: la fille est devant moi à jambes larges, avec les pieds sur mes dos, une pour côté.

Exactement cette écartement bloque le défilage et alors je doit passé son pied gauche dessus de ma tête et pour faire ça je doit ouvrir le porte-objects et mettre la tête à l'interieur: les yeux me tombent sur le adhésif magnetique avec tant de photo mignon: "Papa, ne pas courir".

Maintenant elle se met de travers et tient une position instable en s'embrassant au volant.

Enfin je réussis à désfiler celle maudite étoffe bleu et en ça faisant je la visse de façon que maintenant je peut admiré un petite cul merveilleux enveloppé par culottes violette assez plus facilement désfilables, on presume.

Ça, je le lassera faire à la Blondrynette: n'est pas vrai qu'elle s'appelle "Grâce"?

Qu'est ce que j'etais en train de dire? Elle Le fait comment une étoile américaine de aujourd'hui; maintenant une bouclé perruque blonde sourie aux mes efforts.

Il me prend la hâte et non plus je veut peiner trop, j'ouvre la portière et je désfile facilement mes jeans; ça reporte l'habitacle à une temperature polaire.

Je rallume le moteur; nous nous rendons comte qu'au minimum il ne chauffe rien de rien et de ne pas pouvoir accélérer si non en nous attirant malédictions par les maisons voisines et en amorçant l'aboyer des chiens.

Je me remets les souliers et je part, je suis decidé à faire une montée de là à peu kilomètres; ça il fera cracher l'âme au moteur et son chaud sueur nous enroulera.

Elle réessaie de s'enfiler les jeans, mais les courbes que j'affronte comment si je fusse à la guide d'une voiture de formule 1 ne lui le permettent pas.

Maintenant nous sommes restés: moi avec les seuls boxer et elle avec la seule jaquette de fourrure.

Alors elle prouve à se remettre au moins les culottes violette et elle réussit à peine avant de finir avec un coude dans le habituel porteobjects, en faisant tomber mon fils!

Dans la sommet de la montée nous sommes chaudes, elle s'enleve la jaquette avec la intention de se mettre la chemisette, mais elle ne la trouve plus dans le chaos sous les rabattables. Nous sommes tous les deux en culottes, je descende comment un fou, en freinant principalement avec le moteur, je ne veut pas que la voiture se refroidit de nouveau.

Impossible pour elle se revêtir et, du tout façon, inutile, nous sommes presqu'arrivé à un place que je connais bien et qui je sais qu'elle aussi connais bien.

Maintenant nous sommes en descente et nous sortons de la dernière courbe avec les pneumatiques sifflants comment d'été et je me trouve à freiner brusquement pour ne balayer de la route un place de bloc.

**

- Bonne soir, permis de conduire et livret de circulation s'il vous plait .. hè! Didon, viens voir ici ces deux .. .. mais est-ce que vous ne souffrez pas le froid cette soir?

Du porteobjects tombe aussi la photo de ma femme: "nous t'attendons chaque soir".

fin


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