TRILOGIA delle BUGIE di santa OMS (Org. Mondiale Sanita)
(Francese)
LA
TRILOGIE DU MENSONGE
(extrait du livre LA MAFIA MÉDICALE, pp. 115 à 133)
Les
mensonges des autorités
"Les
vaccins nous protègent."
"Le sida est contagieux."
"Le cancer est un mystère."
Depuis
des années, les autorités nous content des mensonges gros comme des
montagnes. Comme nous croyons les autorités, nous croyons leurs mensonges
dur comme fer. il ne nous viendrait jamais à l'idée de douter de leur
sincérité. Et pourtant...
Regardons de plus près trois des plus gros mensonges.
La trilogie du mensonge
PREMIÈRE
PARTlE:
Les
vaccins nous protègent.
Les
vaccins préviennent-ils les maladies on... ils les donnent ?
Les
vaccins nous protègent contre les virus et microbes agresseurs éventuels
et préviennent ainsi les maladies contagieuses et les épidémies, nous
enseignent les autorités.
L'énorme
mensonge
Cet
énorme mensonge se perpétue depuis cent cinquante ans en dépit de:
1.
L'INEFFICACITÉ des vaccins à
protéger contre les maladies:
- la vaccination peut provoquer la maladie qu'elle est censée prévenir.
- la personne vaccinée peut transmettre la maladie, même sans être
malade elle-même.
- la vaccination peut sensibiliser la personne à la maladie.
En
1905, le taux de mortalité due à la variole s'élevait, aux Philippines,
à 10%. Après une vaccination massive, se déclara une épidémie qui
frappa mortellement 25% de la population - dûment vaccinée. Malgré cet
échec, les autorités intensifièrent les vaccinations. En 1918, la pire
épidémie tua 54 % des gens, alors que la population était vaccinée à
95 %. Manille, la capitale, où les habitants étaient tous vaccinés et
revaccinés, fut la plus touchée: 65,3 %. Lîle de Mindanao, où les
indigènes avaient refusé la vaccination, fut la moins touchée: 11,4 %.
Malgré ces évidences, la vaccinadon antivariolique continua et l'O.M.S.
lança, en 1966, une campagne mondiale qui dura 10 ans et fut abandonnée
en raison de son inefficacité.
2.
L'INUTILITÉ évidente de certains vaccins,
notamment pour les maladies telles que:
- la tuberculose et le tétanos qui ne confèrent pas d'immunité, jamais.
Le fait d'avoir eu la tuberculose ne nous empêche pas de récidiver. Au
contraire, une première tuberculose (parfois causée par le vaccin) rend
la personne beaucoup plus vulnérable à un second épisode, souvent
mortel.
- la rubéole où 90% des femmes d'une population sont naturellement protégées
et que les risques de contracter la maladie sont limités aux 3 premiers
mois de la grossesse.
Or on vaccine toute la population, y compris les garçons.
- la diphtérie qui, au moment des plus grandes épidémies, ne touchait
que 7 % des enfants. or, on les vaccine tous. Plus encore, on vaccine de
façon répétée enfants et adultes, bien qu'on prétende qu'un seul
vaccin reçu dans l'enfance assure l'immunité ad vitam.
"L'enfant
Vacciné est un enfant contaminé.', - Kalmar
"Vacciner, c'est remplacer une immunité naturelle par une immunité
artificielle." - Simone Delarue
-
la grippe et l'hépatite B dont les virus deviennent rapidement et
fortement résistants aux anticorps des vaccins. Ces deux vaccins sont
alors totalement inutiles, outre le fait qu'ils soient extrêmement
dangereux.
La
meilleure immunité, c'est l'immunité naturelle. Elle se retrouve
normalement dans 80 à 90% de la population avant l'âge de 15 ans. Parce
que la contamination d'une personne par une maladie mobilise tous les systèmes
de défense de l'organisme, l'immunisation naturelle se fait dans l'ordre.
Au contraire, la contamination vaccinale court-circuite toutes les premières
défenses. L'immunisation artificielle se fait dans le désordre. Pas étonnant
qu'elle exige des rappels fréquents... aussi inutiles que les vaccins
eux-mêmes!
3.
Les innombrables COMPLICATIONS dues aux vaccins
- allant des troubles mineurs (allergiques, neurologiques ... ) à la mort
(mort subite du nourrisson);
- de courte durée ou permanentes;
- d'apparition immédiate, retardée ou tardive;
- passagères ou irréversibles;
- connues et inconnues.
Au
cours de mes lectures, j'ai fait une liste des complications des vaccins,
au fur et à mesure que je les voyais mentionnées. je vous la soumets
telle quelle. je les ai disposées en trois colonnes, suivant qu'elles
apparaissent:
-
rapidement (1 jour à 1 mois après la vaccination) À COURT TERME;
- lentement (quelques mois à quelques années) À MOYEN TERME;
- tardivement (quelques années à quelques générations) À LONG TERME.
Les
complications à court terme et à moyen terme sont connues et documentées.
Les complications
à long terme sont déjà évidentes dans certains cas. Mais nous n'avons
pas encore les preuves vivantes pour toutes. Les désirons-nous vraiment ?
Voulons-nous attendre de constater l'apparition d'ailes de poulet sur nos
petits enfants pour commencer à nous poser des questions sur les
bienfaits de la vaccination ?
POT-POURRI
DE COMPLICATIONS DES VACCINATIONS
COURT TERME
La maladie elle-même ou ses formes atypiques:
- toux coqueluchoïque
- paralysie "polio-like
Allergies
- urticaires (géantes)
- eczéma
- exanthèmes (rougeurs)
- asthme
- malaises
- inflammation douloureuse
- réactions locales
- gonflement des ganglions
- choc anaphylactique pouvant conduire à la mort
Fièvre
Atteintes rénales
Purpura
Oedème (enflure)
Rhumatisme
Troubles gastrointestinaux
Mort subite du nourrisson 1 à 3 semaines après vaccin
Toutes
les maladies aiguës du système nerveux:
- encéphalite grave à légère
- pan-encéphalite (vaccin-rougeole)
- méningite
- atteintes neurologiques irréversibles
- Guiflain-Barré
- paralysie cérébrale
- dommages cérébraux majeurs
"Infarctus
vaccinal" chez les 3040 ans
Hépatite
B
Altération
ou mort du ftus
MOYEN
TERME
Désordres neurologiques
1) Autisme
2) Dommages cérébraux
- convulsions
- enfant hyperactif
- pleurs incessants
- troubles de l'appétit (anorexie/boulimie)
- atteinte des nerfs crâniens (aveugle / sourd / muet dyslexique)
- hypotonie
- retard de développement
- paralysie cérébrale
3)
Problèmes mentaux
-arriération mentale
- troubles de comportement
- troubles de personnalité
- troubles intellectuels
- troubles d'apprentissage
- hypersexuafité
- instabilité émotionnelle
- délinquance juvénile
- personnalité sociopathe
- comportement criminel
Leucémies
de l'enfant
Infections à répétition
Allergies nombreuses
LONG
TERME
EFFETS
SÛRS
1) Déséquilibre de notre organisme (écologie individuelle)
2) Affaiblissement de notre système immunitaire (défense naturelle)
3) Bouleversement à l'intérieur de nos cellules: altération permanente
des chromosomes (ADN) (malformations)
4) Introduction de protéines étrangères transmissibles au code génétique
d'une espèce (nouvelles formations)
CONSÉQUENCES
- sclérose en plaques
- leucémies
- cancers
- sida
- malformations congénitales
Stérilité
"Chronic fatigue syndrome"
Épilepsie
Parkinson
Maladies cardiovasculaires
Allergies
+++
Maladies dégénératives
- Alzheimer
- Lupus
- Arthrite
Réapparition
de vieilles maladies résistantes aux médicaments
Apparition
de nouvelles maladies inconnues
- Malformations congénitales
- Défauts génétiques héréditaires
- Mutations de l'espèce humaine
- Menace d'extinction de la race humaine
Les
personnes qui travaillent un tant soit peu avec les enfants répugnent à
vacciner J'ai une amie médecin qui, depuis toujours, refuse catégoriquement
de vacciner contre la coqueluche. Elle préfère se faire réprimander par
les autorités plutôt que d'avoir une mort ou une infirmité sur la
conscience. Les personnes qui travaillent avec les enfants autistiques et/ou
les enfants ayant des problèmes de comportement ou d'apprentissage savent
aussi qu'il y a presque toujours une vaccination derrière le problème.
Dernièrement, une gérontologue me racontait que ses patientes étaient
malades pendant les 2 ou 3 mois qui suivaient le vaccin contre la grippe
et que plusieurs mouraient au cours de cette période.
4.
Les nombreuses PROTESTATIONS continuellement
répétées de la part de spécialistes en la matière, de médecins
consciencieux et de parents avertis ou ayant des enfants victimes de
vaccins. De très nombreux rapports de toutes sortes s'accumulent dans des
dossiers et sont passés sous silence. Les autorités détiennent l'information,
mais elles la verrouillent. il leur faudra 45 ans avant de divulguer la
contamination de 175 000 à 600 000 soldats américains par l'hépatite B
dont le virus était présent dans le vaccin contre la fièvre jaune!
5.
Les LIGUES et les ASSOCIATIONS de parents dans
les principaux pays occidentaux, telles que la DPT (Dissatisfied Parents
Together), aux É.-U. et la Ligue Nationale pour la Liberté des
Vaccinations (qui uvre depuis 40 ans et possède une bibliothèque et une
documentation remarquables), en France mettent les autorités en garde
contre les dangers des vaccinations et réclament le libre-choix des
parents en madère de vaccination.
6.
Les POURSUITES LÉGALES
tellement nombreuses qu'elles mettaient en péril les fabricants de
vaccins. Des fonds d'indemnisation aux victimes des vaccins furent établis
par les gouvernements, tel le National Childhood Vaccination Compensation
Law, voté par le Congrès en décembre 1986. Ce fonds autorise le
paiement par le gouvernement - avec nos dollars et non ceux des fabricants
de vaccins - d'un dédommagement aux enfants gravement handicapés par une
vaccination.
7.
Les conséquences catastrophiques et bouleversantes d'une
DÉFICIENCE NEUROLOGIQUE étendue à un grand nombre d'enfants suite aux
vaccins. Aux U.S.A., 20 % des enfants souffrent " de désordres du développement"
("developmental disabilities") consécutifs aux encéphalites
causées par les vaccins. D'où bouleversement du système d'éducation
incapable de scolariser un tel nombre d'enfants qui ne peuvent ni lire, ni
écrire, ni compter. D'où également cette vague de violence sociale et
de crimes perpétrés par des "personnalités sociopathes" créées
par les vaccins.
8.
Les CONSTATATIONS EFFROYABLES:
- création de nouvelles maladies incontrôlables (dont le sida) et de
- modification permanente et héréditaire de notre code génétique dont
nous ne pouvons (et surtout n'osons pas) anticiper les conséquences.
Voici
un exemplaire du RAPPORT D'INCIDENT ADVERSE RELIÉ À L'ADMINISTRATION
D'UN VACCIN. Ce rapport est fourni aux institutions médicales par LE
MINISTÈRE DE LA SANTÉ.
Des
virus nouveaux se forment, se transforment, se multiplient, se
transmettent d'une génération à l'autre par le sperme ou l'oeuf, le
placenta et le lait maternel. Or, plusieurs vaccins sont faits avec des
virus et proviennent de cellules d'animaux eux-mêmes contaminés par
toutes sortes de virus. C'est ainsi qu'on eut la désagréable surprise de
découvrir:
En
1960, que les cultures de cellules rénales de singes rhésus utilisées
pour la fabrication du vaccin anti-polio étaient infestées du virus
simien 40 (SV 40). Des millions d'enfants avaient donc été contaminés
par ce virus simien 40 avant qu'on ne s'aperçoive de sa présence. Or,
nous savons maintenant que le SV 40 cause: une déficience du système
immunitaire + des anomalies congénitales + des leucémies (surtout chez
les enfants de 2 à 4 ans) + des maladies malignes.
En
1973, des chercheurs démontrèrent que le taux des tumeurs cérébrales
était des treize fois plus élevé chez les enfants nés de mères vaccinées
contre la poliomyélite durant leur grossesse.
La
rançon des vaccinations - F. et S. Delarue
En
1980, des chercheurs trouvèrent des fragments de SV 40 dans des tumeurs cérébrales
humaines. Il semble y en avoir dans 25 % des cas.
En
1987, on confirma que le HTLV4 provient des singes verts d'Afrique. Or le
virus de la leucémie humaine est le HTLVI et le virus du sida humain est
le HTLV3. Il en est ainsi du virus de la leucose aviaire qui contamina la
plupart des vaccins contre la fièvre jaune et contre la rougeole jusqu'en
1962. Des millions de personnes les avaient déjà reçus à ce moment-là.
Puis on se demande D'OÙ VIENT L'ÉPIDÉMIE DU SIDA?
EN
DÉPIT DE TOUT CELA, les autorités continuent non seulement à vacciner
nos enfants du berceau à l'école, mais elles étendent cette pratique
aux adultes. Non contentes d'exercer leurs ravages chez nous depuis les
vingt dernières années, elles les proposent au monde entier. Sachons que
45 % des fonds de l'Unicef sont affectés à la vaccination des pays du
Tiers-Monde, tandis que 17 % seulement sont consacrés à l'eau et à l'assainissement,
bien qu'un rapport dû à cette même Unicef précise que "une
personne sur cinq dans le monde ne dispose toujours pas d'eau et d'un système
d'assainissement fiable"! Les enfants du Tiers-Monde ont besoin d'eau
propre et de nourriture, non pas d'agents agressifs qui les font mourir
comme des mouches. Les vaccinations massives des pays d'Afrique ont décimé
ces populations par leurs effets immédiats et, maintenant, par le sida...
Et on persiste toujours de vacciner! Mieux encore, les autorités
mondiales ont lancé le PÉ.V. (Programme Élargi de Vaccination
universelle des enfants) dont l'objectif est la vaccination de tous les
enfants du monde contre les six maladies les plus communes de la petite
enfance: poliomyélite, diphtérie, tétanos, rougeole, coqueluche,
tuberculose.
Réalisons
que: les autorités nous tiennent un discours bien différent de la réalité.
La
vraie épidémie, c'est la vaccination.
La vaccination prévient les épidémies
Les
autorités mondiales
Le gouvernement mondial, c'est l'O.N.U. (Organisation des Nations unies).
Son ministère de la Santé, c'est la toute sainte O.M.S. (Organisation
Mondiale de la Santé).
Le gouvernement mondial est en train d'imposer partout au monde.
LE
NOUVEL ORDRE MONDIAL
Pouvoir mondial tout-puissant, gouvernement des gouvernements, dont le but
tout théorique serait d'assurer la paix dans le monde... Vraiment ?
Regardons ce que cela donne. Dans les faits. Par le truchement de son
ministère de la Santé, l'O.M.S., l'O.N.U. a procédé aux réalisations
suivantes:
-
En 1974, sainte O.M.S. lança un vaste programme pour promouvoir la "Santé
pour tous en l'an 2000". Ce programme était l'aboutissement d'une
longue lutte menée par les populations du Tiers-Monde qui obtenaient
enfin
reconnaissance de leurs besoins propres et de leur participation aux décisions.
Mais c'était aussi la consécration de sainte O.M.S. comme autorité
mondiale en matière de santé. Elle s'assurait ainsi l'initiative de l'orientation
de la santé dans le monde, au-delà des gouvernements nationaux des pays.
The
Rockfeller File - Gary Allen
-
En 1978, les États membres de sainte O.M.S. se sont réunis à Alma Ata
pour définir une politique commune de soins de santé primaires dans
laquelle les populations seraient démocratiquement impliquées afin de
faire face d'elles-mêmes à leurs problèmes de santé. Or, comme nous l'avons
vu plus haut, de la Déclaration d'Alma Ata découla la mondialisation des
recommandations du rapport Flexner, rapport qui imposait la médecine
"scientifique" (médecine de maladie) comme seule valable et éliminait
toutes les autres pratiques de la
médecine (médecine de santé). Ce rapport avait été financé par la
Fondation Carnegie et son application, par la Fondation Rockefeller. Les
co-commanditaires de la conférence d'Alma Ata étaient les suivants: la
Fondation Rockefeller, la Banque Mondiale, l'Unicef. Les financiers
sponsorisant pour la santé du monde, quelle magnanimité !
-
En 1983, pour atteindre son objectif louable de la "Santé pour tous
en l'an 2000", sainte O.M.S. préconise la vaccination de tous les
enfants du monde contre six maladies.
Elle lance donc son PÉ.V., c'est-à-dire Programme Élargi de Vaccination.
Un comité pour vacciner les enfants du monde est alors constitué par :
Robert Mc Namara,
ancien président de la Banque Mondiale (la Banque Mondiale est la banque
officielle du gouvernement mondial, l'O.N.U.).
Jonas Salk, directeur du Salk Institute. Fabricant de vaccins et de réactifs
biologiques, notamment pour l'armée américaine, le Salk Institute a un département
qui travaille sous contrat avec le Pentagone.
Le Wall Street Journal du 5 avril 1988 rapportait que le Salk Institute
avait conclu un contrat avec l'armée américaine de 32,3 millions de $
pour la production de vaccinations et de réactifs biologiques.
Léopold Sédar Senghor, ancien président du Sénégal.
Van den Hoven, président d'Unilever, l'énorme multinationale pour l'exploitation
du Tiers-Monde, dont la spécialité, est d'y imposer la monoculture d'arachides.
Unilever est le plus important fabricant de margarine, d'huile et de savon
du monde entier.
Sainte
O.M.S., financiers, industriels et militaires se donnent la main pour
sauver les enfants du monde. Comme c'est émouvant !
En
1984, pour réaliser les voeux pieux de sainte O.M.S. (la vaccination de
tous les enfants du monde), cinq institutions respectables: sainte O.M.S.,
U.N.I.C.E.E, Banque Mondiale, programme de développement des Nations
Unies, Fondation Rockefeller unissent leurs efforts et fondent ensemble la
Force d'intervention pour la Survie de l'Enfant. Elles tiennent à
poursuivre et à élargir le programme de vaccination à l'échelle
mondiale. L'Unicef est encouragée, dans sa noble aventure, par la
Fondation Mérieux (qui possède 30 % du marché mondial de la fabrication
des vaccins) et l'institut Pasteur.
Quelle générosité !
En
1989, pour imposer aux enfants les programmes d'immunisation prévus par
le RÉ.V. (Programme Élargi de Vaccination) et vaincre les résistances
et les oppositions des adultes récalcitrants, sainte O.M.S. va chercher
des outils contraignants. Toujours pour le bien des enfants, évidemment.
Elle fait adopter par POXU. la Convention des Droits de l'Enfant pour améliorer
le sort de l'enfance dans le monde. Quelle bonté ! Cette convention
impose unilatéralement et arbitrairement, sans discussion, ni représentation,
ni concertation des citoyens, des changements fondamentaux dans la
structure de notre société et de notre famille.
En
pratique, cette convention:
1.
établit la notion de citoyenneté de l'enfant;
2. remplace le droit d'autorité des parents par un devoir d'obéissance
aux autorités administratives;
3. autorise les autorités à séparer un enfant de parents négligents;
4. reconnaît à l'enfant la liberté de choix, de pensée, d'expression,
de manifestation de sa religion ou de ses convictions, d'association et de
réunion pacifique, sauf les seules restrictions qui sont prescrites par
la loi ou... ce qui touche la santé...
5. convient que les États s'efforcent d'assurer la réalisation intégrale
du droit de l'enfant de jouir du meilleur état de santé possible et
prennent les mesures appropriées pour.. développer les soins de santé
préventifs... (dont la vaccination).
La
Convention des Droits de l'Enfant permet aux autorités d'imposer par la
force, contre le gré des parents:
1.
les transfusions sanguines aux Témoins de Jéhovah;
2. les vaccins aux opposants aux vaccinations;
3. la médecine scientifique aux adeptes de médecines douces;
4. les traitements médicamenteux sévères à ceux qui les refusent (tel
PAZT pour le sida, par exemple).
Réalisons que ce ne sont
- ni nous, les parents,
- ni nos enfants,
- ni nous, les patients,
- ai nos médecins,
- ai les autorités de notre pays
qui contrôlent notre santé, mais bien les financiers mondiaux cachés
derrière la toute vénérée et respectée sainte O.M.S
Pourquoi
cet acharnement meurtrier ?
Dans
quel but les autorités mondiales détruisent-elles la santé des
populations des pays industrialisés comme du Tiers-Monde et les
exterminent-elles? il est difficile de présumer des intentions des gens,
surtout quand on ne les côtoie pas de près. Quelqu'un, quelque part, a
certainement tout intérêt à maintenir les vaccinations et à les
maintenir ainsi par des campagnes massives comme on le fait. Une chose est
certaine, ce n'est pas notre intérêt à nous, les patients. Faute de
connaître les bénéfices et les bénéficiaires, examinons les CONSÉQUENCES
de ces programmes de vaccination massive et tirons-en les conclusions qui
s'imposent.
1.
La vaccination coûte cher: un
milliard de dollars US par année. Elle profite donc à l'industrie, comme
nous l'avons vu plus haut: multinationales de vaccins et pharmaceutiques,
notamment. L'une vend les vaccins, l'autre, tout l'arsenal médicamenteux
pour répondre aux nombreuses complications qui s'ensuivent.
Profits croissants pour les uns, dépenses croissantes pour les autres...
jusqu'à ce que nous soyons égorgés et prêts à accepter l'inacceptable
... comme la médecine socialisée aux U.S.A., par exemple.
2.
La vaccination stimule le système immunitaire (défense
de l'organisme).
Répétée, la vaccination épuise le système immunitaire. Elle confère
une sécurité trompeuse, puisqu'elle ouvre toute grande la porte à
toutes les maladies (notamment aux maladies du sida qui ne peut se développer
que sur un terrain immunitaire perturbé). Elle fait exploser le sida
silencieux. Elle assure un marché de la maladie perpétuellement
florissant.
3.
La vaccination engendre la violence sociale et le crime. Quelle
meilleure façon de déstabiliser un pays, de désarmer ses habitants et
de renforcer les contrôles policiers et militaires ? Les autorités créent
subtilement des situations de panique et de peur dans la population qui,
à son tour, réclame le renforcement des "mesures de protection"
ainsi que l'interdiction de port d'arme par le citoyen. Les autorités
accourent alors en sauveteurs et resserrent leur contrôle. Pour imposer
une armée mondiale unique, il faut désarmer les citoyens de tous les
pays. il faut donc créer de la violence pour les amener à le faire,
surtout aux U.S.A. oÙ ce droit est garanti par la Constitution!
La
vaccination encourage la dépendance médicale et renforce la croyance de
l'inefficacité de notre système immunitaire. Elle crée des assistés
permanents. Elle remplace la confiance en soi par la confiance aveugle en
l'extérieur. Elle rend dépendant financièrement et engendre la perte de
la dignité personnelle. Elle nous entraîne dans le cercle vicieux de la
maladie (peur - pauvreté - soumission) et s'assure ainsi la soumission du
troupeau, pour mieux le dominer, l'exploiter, et le conduire à l'abattoir……
La vaccination encourage aussi la dépendance morale et financière des
pays du Tiers-Monde vis-à-vis des pays occidentaux (dons, vaccins, équipement
pour les administrer .. ).
La vaccination perpétue le contrôle social et économique des pays
occidentaux sur les pays du Tiers-Monde. Complexité = contrôle
5. La vaccination cache les vrais problèmes socio-politiques (pauvreté
des uns due à l'exploitation des autres) en y apportant de
pseudo-solutions techno-scientifiques si compliquées et sophistiquées
que les patients ne peuvent comprendre. En détournant les fonds qui
auraient dû servir à l'amélioration des conditions de vie et en les
acheminant dans les banques des multinationales, la vaccination creuse
encore le fossé entre les riches dominants et les pauvres exploités.
6.
La vaccination décime les populations. De
façon aiguë, dans les pays du Tiers-Monde; de façon chronique, dans les
pays industrialisés. À cet effet, écoutons Robert Mc Namara, ancien président
de la Banque Mondiale, ancien secrétaire d'État des U.S.A., qui ordonna
les bombardements massifs du Viêt-nam, et un des instigateurs du PÉ.V.
ne mâche pas ses mots quand il déclare: Il faut prendr edes mesures
draconiennes de réduction démographique contre la volonté des
populations. Réduire les taux de natalité s'est avéré impossible ou
insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment? Par
des moyens naturels: la famine et la maladie."
('l'ai tout compris", no. 2, février 1987, Éd. Machiavel.)
7.
La vaccination permet la sélection des populations à décimer.
Elle facilite les génocides ciblés. Elle permet de tuer les gens d'une
certaine race, d'un certain groupe, d'un certain pays... et de laisser les
autres indemnes... au nom de la santé et du bien-être de tous, évidemment.
Le
Kala-azar comme par hasard !
Prenons l'AFRIQUE comme exemple. Nous constatons la disparition presque ,
complète (50 % de morts, prédisent les plus optimistes, 70 % de morts,
les moins comme optimistes) de certains peuples africains. Comme par
hasard, il y en a plusieurs dans la même région: Zaïre, Ouganda, extrême
sud du Soudan. En 1967, à Marburg (R.EA.), sept chercheurs, travaillant
sur des singes verts d'Afrique, sont morts frappés d'une fièvre hémorragique
inconnue. En 1969, comme par hasard, la même maladie tue un millier
(1000) de personnes en Ouganda. En 1976, une nouvelle fièvre hémorragique
inconnue tue dans le sud du Soudan... puis au Zaïre...
Sachons
que, comme par hasard,
- au cours du procès intenté à la C.I.A., Dr. Gotlieb, cancérologue, a
reconnu avoir déversé, en octobre 1960, une grande quantité de virus
dans le fleuve Congo (au Zaïre) pour le polluer et contaminer les
populations qui utilisaient son eau. Dr. Gotfieb a été nommé à la tête
du N. Cl (National Cancer Institute). (Ce sont les recherches fouillées
du Dr. Eva Snead qui nous ont permis l'accès à cette information.)
- depuis 1968, des virologues (spécialistes en virus) avaient installé
leur matériel sophistiqué en milieu hospitalier au Zaïre.
En
1992 ou 1993, je découvrais, dans un reportage de l'agence Reuter, que
"Une maladie semblable au sida a fait 60 000 morts dans le sud du
Soudan... On l'appelle la maladie tueuse. Des familles, des villages
entiers ont disparu... Cette maladie, le Kala-azar.. se traduit par de la
fièvre et l'amaigrissement des malades. Les symptômes sont les mêmes
que ceux du sida. Le système immunitaire est déficient et on meurt d'autres
affections... "
Il
est évident que l'Afrique, surtout les pays du centre et du sud,
contiennent des ressources fabuleuses qui ont toujours suscité la
convoitise des Occidentaux.
Malheur à ceux qui résistent ! Les colonies ont disparu... mais pas le
colonialisme...
La paranoïa serait-elle une forme de conscience?, - Kerry Thornley
Expérimentation = extermination des minorités dérangeantes
8.
La vaccination sert d'expérimentation
pour tester de nouveaux produits sur un grand échantillonnage de
population. Sous le couvert de la santé, on vaccine les gens contre une
pseudo-épidémie avec les produits que l'on veut étudier. Le vaccin de
l'hépatite B semble être le choix des autorités pour accomplir ce but.
Or, ce vaccin est fabriqué par manipulation génétique: il est donc
beaucoup plus dangereux que le vaccin traditionnel parce qu'il inocule
dans l'organisme des cellules étrangères à son code génétique.
Plus encore, ce vaccin, produit à partir de virus cultivés sur des
ovaires de hamster de Chine (de quoi auront l'air nos descendants?) est réputé
pour occasionner des cancers du foie. Malgré cela, il jouit d'une grande
popularité auprès des autorités qui l'imposent d'abord par la force à
tous ceux qui travaillent dans le domaine de la santé, puis au reste de
la population ou d'emblée à toute la population pour les autochtones.
En
1986, les autorités médicales ont administré aux enfants des natifs
d'Alaska le vaccin contre l'hépatite B. Sans explication. Sans le
consentement des parents.
Beaucoup d'enfants sont tombés malades et plusieurs sont morts. Il y
avait, semble-t-il, un virus appelé RSV (Rous Sarcoma Virus) dans le
vaccin...
Les tribus autochtones d'Amérique sont soumises à de nombreuses
vaccinations.
Ces peuplades difficiles à soumettre et qui possèdent de grandes étendues
de terres que les multinationales voudraient bien récupérer pour leur bénéfice...
Dernièrement, je rencontrai un groupe de femmes autochtones pour leur
parler de santé. Le sujet des vaccinations vint sur le tapis. Je leurfis
part de certaines informations à ce sujet quand, brusquement, l'infirmière
du groupe me confia que le gouvernement fédéral leur accordait toute
liberté dans la gestion de leur santé, mais à une condition expresse:
qu'elles respectent scrupuleusement les programmes de vaccination pour
tous. Un grand silence se fit... Nous venions toutes de comprendre.
-
En 1988, au cours d'une interview à la radio, un ambassadeur du Sénégal
rapportait les ravages du sida dans son pays où des villages entiers sont
décimés. Quelques années auparavant, des équipes scientifiques et médicales
étaient venues vacciner leurs habitants contre l'hépatite B. La maladie
touchait les personnes vaccinées.
-
En 1978, on procéda aux essais d'un nouveau vaccin sur les homosexuels de
New York et, en 1980, sur ceux de San Francisco, Los Angeles, Denver,
Chicago et Saint-Louis.
Ce "nouveau vaccin", officiellement contre l'hépatite B, causa
la mort par le sida de plusieurs d'entre eux, comme nous le savons
maintenant. La première hécatombe officiellement reconnue du sida.
Le
programme de vaccination des homosexuels contre l'hépatite B était
commandé par l'O.M.S. et le N.LH. (National Institute of Réalth). Leur
collaboration meurtrière n'était pas nouvelle.
-
En 1970, ils menaient ensemble une étude sur les conséquences de
certaines bactéries et virus inoculés aux enfants lors des vaccinations.
- En 1972, cette étude devint plus spécifique aux virus qui provoquaient
un affaiblissement de la fonction immunitaire.
Woff
Szmuness dirigea les expérimentations antihépatite B menées à New
York. il a fait connaître les liens existant entre le Blood Center (où
il avait son laboratoire) et le N.LH., le XCL (National Cancer Institute),
le FDA., l'O.M.S., et les écoles de Santé Publique de Cornell, Yale et
Harvard.
En
1994 se déroule, au Canada, une vaste campagne de vaccination antihépatite
B, inutile, dangereuse, coûteuse... et cachant quoi ?... je constate que
le Québec est particulièrement vacciné depuis trois ans:
1992: Vaccination contre la méningite
1993: Revaccination contre la méningite
1994: Vaccination contre l'hépatite B.
J'ai
été témoin de la vaccination de 1993.
Elle m'a particulièrement troublée parce qu'elle visait toute une génération
(0 à 20 ans), tout le Québec et seulement le Québec. Depuis quand les
bactéries et les virus connaissent-ils les frontières, provinciales par
surcroît ? Voici les faits.
Il n'y avait pas d'épidémie ni de risque d'épidémie. Les épidémiologues
étaient formels.
Non pas un, mais trois vaccins différents furent administrés, chacun
dans un territoire ciblé.
Certaines infirmières furent sélectionnées pour suivre une formation
spéciale qui les rendait aptes à administrer un vaccin spécial.
Tous les enfants étaient fichés sur ordinateur.
La pression était énorme pour vacciner tous les enfants. Les écoles
furent transformées en cliniques. Les enfants qui refusaient d'être
vaccinés étaient montrés du doigt et traités d'antisociaux.
Les infirmières allaient à domicile pour chasser les mères d'enfants
préscolaires refusant de faire vacciner leurs petits.
J'ai
vu, de mes yeux vu, un de ces petits. La mère ne voulait pas le faire
vacciner L'infirmière est venue à la maison et lui a fait croire que la
vaccination était obligatoire. La mère a cédé... L'enfant est
maintenant infirme: complètement déficient physiquement (paralysé,
spastique) et mentalement.
La vaccination coûta 30 millions de dollars aux contribuables québécois,
en période de grande récession, par surcroît.
"Et
si la paranoïa était une forme de conscience ?" - Kerry Thornley
Pourquoi
un tel acharnement meurtrier? Comme les autochtones, le peuple québécois
est dérangeant: il tient à sa différence et réclame sa souveraineté.
De plus, le Québec (avec les territoires des autochtones) abrite un réservoir
d'eau très alléchant pour les multinationales qui veulent s'en emparer
et détourner les cours d'eau vers le sud. J'ai compris la valeur de l'eau
le jour où une amie de Californie siégeant sur le Comité des Eaux de
son État me confia: Tor, de nos jours, c'est l'eau !" Peut-on penser
à une meilleure arme que la guerre biologique pour se débarrasser de
peuples embêtants dont on veut conquérir le territoire ?
9.
La vaccination permet des études épidémiologiques des populations
et de collecter ainsi des informations sur les résistances à la maladie
des différents groupes ethniques. Elle permet d'étudier les réactions
du système immunitaire de grandes quantités de population à un antigène
(virus, microbe) injecté par vaccination tant dans le cadre de la
lutte contre une maladie existante, que dans le cadre d'une maladie
provoquée.
- En 1987, des laboratoires des U.S.A. et le D.B.T. (Département de
Biotechnologie) Indien ont signé un accord autorisant les essais de
vaccins de fabrication génétique sur la population de l'Inde. Cet accord
suscita de vives protestations car il donnait accès aux profils d'épidémiologie
et d'immunité de la population.
Ces données sont extrêmement importantes sur le plan militaire, et sont
d'autant plus précieuses que les Indes n'ont jamais été affectées par
la fièvre jaune et ne connaissent pas (pas encore ... ) un seul cas de
SIDA. Les laboratoires américains (privés) proposaient d'effectuer en
Inde des expériences sur des produits qu'ils n'avaient pas le droit de
tester au sein de leur propre nation! Et les autorités indiennes ont signé
l'accord!
10.
La vaccination est une arme biologique au service de la guerre biologique.
Elle permet de tuer les gens d'une certaine race et laisser les autres à
peu près indemnes. Elle donne la possibilité d'intervenir sur le
patrimoine héréditaire de qui on veut.
Une nouvelle spécialité est née, l'ingénierie génétique. Elle connaît
un succès florissant, jouit de beaucoup de prestige et se voit attribuer
d'énormes fonds de recherche.
Le défi est de taille: trouver un vaccin qui provoque une maladie contre
laquelle nous avons déjà le vaccin! Gagner cet enjeu permettrait d'envoyer
des troupes déjà vaccinées contre le vaccin meurtrier qu'elles
diffuseraient chez l'ennemi... C'EST DE LA PURE FOLIE!
En
attendant, le vol industriel sévit. Le Capitaine et biologiste de PUS
Navy à Fort Detrick, Neil Levitt, a signalé la disparition de 2.35
litres d'un vaccin expérimental; dose suffisante pour contaminer la
population de la terre entière. Où est-il passé ?... Fort Detrick est
un laboratoire de recherche qui fabrique des vaccins. Il est situé tout
près de Washington, dans le Maryland, et il est rattaché au N. CI. (National
Cancer Institute), à Bethesda, banlieue de la capitale. Autre fait étonnant:
l'Université de Berkeley paye toutes les factures pour le Centre National
Médical Naval. Pas étonnant, alors, que l'on retrouve, étroitement
entremêlés dans toutes les campagnes de vaccination à la fois le
gouvernement, l'armée, l'O.M.S., les financiers, les chercheurs, les
laboratoires, les universitaires, la CJA., la Banque Mondiale...
Réalisons
que:
Sous couvert de la défense de notre pays, sont fabriquées les armes les
plus meurtrières qui soient. La guerre, qu'elle soit biologique ou non,
c'est la guerre. Et les armes, ça tue. La guerre biologique est un
gigantesque business largement financé PAR NOS FONDS par le biais de l'armée,
de la recherche et de nos dons. Financé aussi PAR NOS VIES, celles de nos
enfants et celles de millions d'innocents sacrifiés. Ce sont nous, les
Occidentaux, qui en acceptant la contrainte vaccinale chez nous et à l'étranger,
sommes responsables de nos maladies et des génocides dans le monde.
Manufacturing
Consent – (Naom Chomski)
LE
MARKETING est une technique plutôt récente qui comporte plusieurs volets:
information, publicité, éducation, influence, lobbying, reportages,
messages, leitmotive, gadgets, etc. Il peut être écrit, oral, silencieux,
subliminal. il peut être ouvert, subtil, caché. C'est la science de la
manipulation. On l'enseigne à l'université. Cet art de l'efficacité a
ses diplômés, ses spécialistes. Le BUT du marketing, quel que soit le
produit en cause, est de créer une demande (ou un besoin) chez le "consommateur"
pour l'amener à consommer des produits qu'il ne consommerait pas spontanément
soit parce qu'il n'en veut pas, soit parce qu'il n'en a pas besoin.
LE
MARKETING SOCIAL
appelé aussi ingénierie sociale est identique au
marketing conventionnel sauf pour le produit de consommation: il vend des
idées. Il amène donc le "consommateur" à consommer - c'est-à-dire
à faire siennes des idées qui lui sont étrangères et qui peuvent
der à l'encontre de ses idées propres, de son bon sens naturel. Le BUT
du marketing social est la soumission de la conscience. il réussit à
endormir notre conscience pour nous mener où il veut. il prive l'homme de
son pouvoir de choisir. C'est ce que Beauvais et joule appellent la "soumission
librement consentie": "elle amène la personne finalement à
penser, à décider, à se comporter en toute liberté mais différemment
de ce qu'elle aurait fait spontanément".
LE
MARKETING SOCIAL MÉDICAL, c'est la science du marketing social appliqué
au domaine de la santé. il consiste à VENDP LA MALADIE À DES GENS QUI
VEULENT LA SANTÉ.
Le
réfrigérateur a fait plus pour la santé la chirurgie cur ouvert.
LE
MARKETING SOCIAL DE LA VACCINATION: son
but est de vendre l'idée de la nécessité de la vaccination à des gens
qui ne l'ont pas ou qui n'en veulent pas. Le que résultat visé est de
soumettre 95 % de la population aux vaccinations que les autorités à
auront décidé d'imposer. Il comporte trois étapes qui s'intensifient
avec le degré de résistance à la soumission:
1. la manipulation 2. l'organisation 3. la répression.
1ère
étape, la manipulation: la soumission consentie
Elle
contamine tous les domaines:
Il
est plus facile pour l'homme de briser un atome que de briser un préjugé."
(Robert Einstein)
- L'ÉDUCATION. Non contentes de nous avoir inculqué la croyance que les
vaccinations sont efficaces et inoffensives, les autorités entretiennent
une autre légende tout aussi dépourvue de fondement: les vaccinations
auraient enrayé les grandes épidémies. Or, les épidémies avaient
presque entièrement disparu quand les vaccins sont apparus sur le marché.
Les livres sur les vaccins (non écrits par l'establishment) sont très éloquents
sur ce sujet et démontrent que la régression des grandes maladies est
due à l'amélioration des conditions de vie, et notamment de l'hygiène.
Ce lessivage de cerveau s'appelle de "l'éducation sanitaire" ou
de "l'hygiène publique". Toutes les personnes qui oeuvrent dans
le domaine de la santé reçoivent cette formation mensongère concernant
la vaccination. Elles la transmettent sans vérifier et permettent ainsi
à la vaccination de devenir une agression aussi "normale" que
la violence et la guerre à la télévision.
-
LE VOCABULAIRE. Les autorités ont l'art de diffuser des expressions qui
façonnent nos idées et notre comportement. Ainsi, l'hiver devient
"la saison de la grippe". D'où la pensée d'épidémie de
grippe, d'où besoin du vaccin contre la grippe. Et le tour est joué! Le
marketing social va encore plus loin. il nous fait croire que les
personnes âgées sont plus vulnérables aux maladies, donc à la grippe
en hiver, d'où la nécessité de toutes les vacciner. Et, pour les protéger
davantage, vacciner aussi tout le personnel préposé à leurs soins! Cela
s'appelle le gérontocide.
Un
des initiateurs du vaccin contre la grippe répète régulièrement à ses
amis: "Si tu veux hériter rapidement, vaccine ta grand-mère contre
la grippe !'
-
L'ÉMOTION. Pas n'importe laquelle: la peur. Le concept de la vaccination
repose sur le TANDEM PEUR-PROTECTION. On nous fait peur puis on accourt
nous protéger. Sommes-nous si impuissants et démunis que nous ayons
besoin de protection? La manipulation nous fait croire que oui. Nous nous
faisons entretenir par nos protecteurs. Comme dans la Mafia. Mais ça coûte
cher, la protection! Pour être encore plus efficace, le marketing social
joue sur une autre émotion, plus perverse encore: la culpabilité.
"Si je ne fais pas vacciner mon enfant et qu'il attrape une maladie,
je m'en voudrai pour le reste de mes jours..." Et s'il meurt de la
mort subite du nourrisson ou fait une leucémie à trois ans ou une sclérose
en plaques plus tard parce que nous l'avons fait vacciner, que dira notre
belle conscience? De plus, qui sommes-nous pour prendre sur nous la
responsabilité du sort des autres?
-
L'INFLUENCE. Il faut faire comme les autres. Si tout le monde le fait,
c'est sûrement bien. Mais avons-nous oublié les moutons de Panurge ? On
suit la mode vestimentaire, alimentaire, musicale... et vaccinale. Surtout
ne pas se poser de question. Les autorités qui, elles, savent mieux que
nous, disent toutes que c'est bien. Comment penser différemment? On
appelle cela la pression sociale. Elle est orchestrée par l'Establishment
& associés (financier, politique, médiatique, industriel, médical,
d'assurances, religieux, artistique, universitaire) et est disséminée
par le marketing social.
-
LA MORALE. Les autorités parlent de "droit à la santé pour tous"...
qui dit mieux? Or, qui dit droit, dit devoir. D'où le "devoir
social" de se faire vacciner. Y "échapper" serait refuser
la santé pour tous. Quel manque d'éthique et de conscience sociale! En
bon citoyen, on remplit ses devoirs et on se fait vacciner. Et le tour est
joué, le marketing social a bien fonctionné.
-
L'INFORMATION. Médicale ou non médicale, l'information est l'objet des
soins jaloux de l'establishment. C'est l'outil de diffusion du marketing
social. La pression de la censure (déguisée bien entendu, puisque la
presse est "fibre") est si forte que les journalistes finissent
par s'autocensurer. Ils savent que certaines informations ne peuvent pas
être diffusées. Sinon, l'organe de presse ("indépendant")
sera privé de son soutien, la publicité (Le. les multinationales) sans
lequel il ne peut vivre et le journaliste, muté aux "chiens écrasés".
Les journalistes transmettent l'information qui leur vient des autorités
et la reproduisent sans trop en douter. Dans un domaine aussi bien protégé
que la vaccination, ils ne doivent pas se poser des questions. S'ils s'en
posent trop, on coupe leurs textes... puis on coupe leur poste...
Toutefois, certains le font. C'est ainsi que le programme "60 Minutes"
a présenté, sur le réseau américain en 1979, une enquête sur la
campagne de vaccination massive contre la fièvre porcine aux U.S.A. en
1976. Ce vaccin engendra tellement de complications (surtout neurologiques),
de paralysies et de morts que des poursuites énormes furent intentées.
Cette émission fait étalage du marketing social dans toute sa splendeur.
Tous les ingrédients y sont. je vous encourage vivement à la regarder si
vous voulez connaître les rouages d'une campagne de vaccination massive.
2e
étape, l'organisation: la soumission MOINS consentie
Elle
assure l'efficacité de la manipulation. Elle consiste en un système de
contrôle par fichage de la population et des médecins. Tous sont fichés
sur ordinateur et on les suit à la trace. On s'assure que chaque citoyen
reçoit ses vaccins régulièrement et que chaque médecin les donne. On
dresse des listes, on fait des fiches, on impose des carnets de
vaccination... personne n'y échappe. Les négligents sont immédiatement
rappelés à l'ordre. C'est l'embrigadement systématique. Big Brother
veille sur votre santé!
3e
étape, la répression: la soumission NON consentie
Elle
punit les insoumis. Pour s'assurer l'obéissance, les autorités font des
lois. Obligatoires au tout début du siècle, les vaccins le sont encore
dans plusieurs pays, notamment aux U.S.A. et en France. Quand les gens
prennent conscience de la réalité des vaccinations, l'insoumission s'installe.
Quand les résistances sont trop fortes, l'O.M.S. passe en douce de
nouvelles lois, comme la Convention des Droits de l'Enfant.
Les
insoumis se voient interdire l'accès des garderies (ou crèches), des écoles,
des universités, de certains hôpitaux ou cliniques. Ils ne peuvent
voyager à l'étranger. Ils se voient interdire l'exercice de certains métiers.
Ils sont harcelés continuellement par les autorités médicales,
administratives, scolaires... Ils sont les moutons noirs du beau programme
de "la santé pour tous".
Les
grands insoumis se font imposer des amendes, perdent le droit de pratiquer
la médecine, se font mettre en prison, ou vacciner de force.
Réalisons
que:
tout ce réseau hiérarchique relève du commandement du
ministère national de la Santé: Donna Gouvernementa, lui-même sous
le commandement du
ministère mondial de la Santé: sainte O.M.S.
En
conclusion
Laissons
la parole à Edward Kasse, médecin américain, qui adressait la parole au
Congrès de Vienne sur les maladies infectieuses en 1983, à titre de Président
du Congrès:
"Le
but des épidémiologistes ne doit pas être l'éradication des maladies
infectieuses grâce à l'emploi massif des vaccins et des antibiotiques,
mais le contrôle et l'amélioration de la qualité de vie... il faut
admettre qu'il existera un certain nombre de cas de tuberculose, de polio
ou de malaria et entrer dans une dynamique écologique naturelle en
rendant efficaces les possibilités de défenses de notre organisme, grâce
à une politique sanitaire non contaminée par les intérêts des
multinationales pharmaceutiques."
En
bout de ligne, nous nous retrouvons devant le dilemme suivant: obéir aux
autorités ou écouter notre conscience. Donner notre pouvoir aux autres
ou l'exercer nous-mêmes. Blâmer nos gouvernants ou prendre nos
responsabilités. C'est une question de conscience. À cet effet, il
existe des "clauses de conscience" (reconnues dans certains États
américains) pour refuser la vaccination. En France, les jeunes recrues de
l'armée ont le même droit légal. Au Canada, la vaccination est fibre...
mais on nous fait croire qu'elle est obligatoire... Le droit à la santé
est un droit légitime, inné, de toute personne humaine. Aucune loi ne
peut nous accorder ce que nous avons déjà... et encore moins nous l'enlever!
Obéir aux lois, c'est se soumettre à la légalité, le pouvoir extérieur.
Écouter sa conscience, c'est respecter sa légitimité, son pouvoir intérieur
d'essence divine.
Entre
la légalité et la légitimité, NOUS AVONS LE
POUVOIR DE CHOISIR !
Cures
naturelles
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