Mojo Alcantara actuellement compte environ 900
habitants.
Par rapport aux Communes limitrophes dépeuplées par le chômage par la dénatalités, le
dévoleppement démographique de Mojo peut être considéré stable.
Le village s’étend sur une superficie de 8,39
Kilomètres carrrés située à 535 mètres
au-dessus du niveau de la mer. Son économie s’appuie essentiellement sur
l’agriculture.
LA FLORE
Malgré les problèmes de l’environnement
causés par la pollution et par une aveugle activitè de déboisement, la Vallée de
l’Alcantara est encore aujourd’hui une des zones les plus vertes et les plus
prospères de Sicile.
Malheureusement, exception faite pour quelques
rares buissons le long des rives, les platanes renomés de l’ Alcantara n’existent
plus. Depuis longtemps le papyrus même a
disparu, tandis que plus fréquent est le laurier-rose, dont les floraisons ourlent
d’une frange rose le cours bas du fleuve.
La végétation existant dans les environs de Mojo
Alcantara alterne maquis secondaire (touffu complexe végétal épineux et presque
impénétrable dérivé de la dégénération, pour causes humaines, de la primitive
forêt de chênes semper virens) et garigues (végétation faite de petits arbustes et
dérivées de la destruction, toujours à cause de l’homme, du maquis secondaire).
Parmi les plantes qui se rencontres les plus
fréquemment on peut citer: les chardons, les anémones, les mauves et de nombreses
graminées.
La verte et luxuriante “Piana di Mojo” constitue pour les habitants du petit centre un
authentique poumon de bien-être et de développement puisque sa terre riche en eau
fournit des fruits et des légumes de toute genres.
Mais le fleuron de la “Piana di Mojo” est
de toute l’agriculture de l’endroit ce sont les pêchers dont le fruit très
savoureux est célèbre en août pour la <<fête des pêches>>, quand dans la
rues de Mojo “stand” et étalages sont sont préparés pour exposer et pour
offrir des quintaux de pêches ainsi que les délicieux produits qui en dérivent
(gâteaux, sirops, confitures etc.).
Désormais il est scientifiquement prouvé, de
toute façon, que le mérite de la luxuriance de campagnes est à attribuer à la
présence du sol volcanique.
Du reste, des vignobles étaient plantés sur le
petit volcan de Mojo, jusq’il y a dix ans, mais l’érosion de la couche
superficielle par les pluies eet par les vents ont contraint les agricultures à abandonner cette culture car le produit
qui en provenait présentait des caractéristiques peu agréables parmi lesquels un
excesive amertume.
LA FAUNE
Autrefois le fleuve Alcantara était peuplé
d’anguilles, de truites, de tanches, d’esturgeons, de brochets; d’où
l’originaire dénomination de “Onòbola” c’est-à-dire fleuve de
l’abondance.
Mais la presque totale extinction des espèces de
poisson citées a été détérminé par le progès et par la pollution. Près des rives,
par contre, vit le “discoglosso dipinto” une grenouille typique des Pays
méditerranéens à la forme et à la couleur très semblable à celle de la grenouille
commune.
Entre la végétation des berges et les gres
pirreux, en outre, il peut arriver qu’on rencontre la couleuvre
“leopardino” un des plus beaux reptiles européens à l’éternelle
recherche de rats et d’autres petits rongeurs dont elle se nourrit.
En ce qui concerne les volatiles, dans la
“Piana di Mojo” on a vu planer et airer l’aigle du Bonelli, même si la
présence de chasseurs ignorants et de collectionneurs sans scrupules a rendu toujours
plus rares de tels repérages.
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